Ce beau pays est considéré longtemps comme un paradis fiscal va prendre une décision de mettre fin à son secret bancaire. En signant la convention multilatérale de l’OCDE, le Liechtenstein s’intègre aussi maintenant par l’échange automatique d’informations fiscales. On dirait que cette principauté s’avance d’une manière remarquable dans la croisade internationale qui n’autorise plus l’évasion fiscale. Le Liechtenstein, qui a favorisé depuis des années la fraude fiscale veut mettre un terme à ce paradis fiscal et dévoile enfin son secret bancaire. Il décide d’adopter l’échange automatique d’informations en ce qui concerne la fiscalité de leurs membres.
Le Liechtenstein est prêt à passer à l’échange automatique des informations
Actuellement, le Liechtenstein de plus en plus soucieux d’améliorer son image souhaite accélérer les choses en mettant plus de transparence sur les informations fiscales. Le secret bancaire liechtenstein est a pris fin avec cet échange automatique d’informations. Il affirme même sa grande volonté de passer aux choses sérieuses quand le gouvernement confirme être prêt à passer immédiatement à l’échange automatique d’informations avec les États qui souhaitent passer à l’action. Cette initiative, en attendant qu’elle devienne un standard international, le Liechtenstein sont déjà disposés de procéder à la négociation dans un cadre d’accords bilatéraux en collaborant avec les pays de G5.
La nation alpine a indiqué qu'elle se joindrait également au système d'échange automatique d'informations. Ce système mis au point par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), qui devrait entrer en vigueur à la fin de 2015 ou au début de 2016.
Dans le cadre d'un échange automatique d'informations, si une personne ouvre un compte bancaire dans un pays étranger, ce pays informera automatiquement l'autorité fiscale du pays d'origine de la personne.
Une réponse bien placée du Liechtenstein pour les États-Unis
Le Liechtenstein, dont les banques ont été accusées par les États-Unis et d’autres pays de faciliter la fraude fiscale, a déclaré jeudi qu’il mettrait fin à la pratique consistant à aider les étrangers à cacher de l’argent à leurs autorités fiscales.
Cette décision montre que le Liechtenstein a réagi plus rapidement que la Suisse voisine, probablement la plus importante place financière offshore au monde, pour réagir à la pression internationale en faveur d’une plus grande transparence.
Les banquiers du Liechtenstein espèrent que cette décision tempérera la récente publicité négative suite aux enquêtes américaines et européennes sur les activités des banques de la principauté. Une décision qui a incité les étrangers fortunés à retirer leurs fonds.
Les conseillers fiscaux estiment que l'échange automatique d'informations rendra les formes les plus courantes d'évasion fiscale difficiles, voire impossibles, dans les pays qui l'acceptent.